Leonard partenaire de Hello Tomorrow

Pour la deuxième année consécutive, Leonard est partenaire de Hello Tomorrow, le rendez-vous mondial de la Deep Tech. Avec plusieurs experts de VINCI, nous avons contribué à la sélection des startups finalistes de la catégorie "Smart City", qui seront dévoilées le 16 janvier et réunies en finale au cours du Hello Tomorrow Global Summit les 12 et 13 mars 2020 !

Hello Tomorrow dévoile les 80 startups finalistes de la 6ème édition de son Global Challenge dédié aux deep tech[1]. Une compétition qui a pour objectif de dénicher les projets technologiques et scientifiques les plus prometteurs  qui répondent aux enjeux sociétaux, environnementaux et industriels de demain dans plusieurs secteurs clés : New Space, Aéronautique, Mobilité, Cybersécurité & Communication,  Advanced computing & Intelligence artificielle, Biotechnologie industrielle, Biotechnologie médicale, Découverte de médicaments, E-santé & Medtech, Environnement, Énergie, Villes intelligentes, Agriculture & Alimentation et Industrie 4.0.

 

Lors du Hello Tomorrow Global Summit, qui se tiendra les 12 et 13 mars 2020 au Centquatre-Paris, un jury d’experts composé de scientifiques, d’industriels et d’investisseurs sélectionnera une startup lauréate dans chacune de ces catégories. Un grand prix de 100 000 € sera également remis par BNP Paribas, partenaire mondial de la compétition, à la meilleure d’entre elles. Cette finale et cet événement concluront la première Deep Tech Week organisée à Paris pour accélérer le développement des technologies émergentes.

 

Pour cette nouvelle édition du Hello Tomorrow Global Challenge, un nombre record de 5 000 projets, issus de 128 pays, se sont portés candidats grâce à la mobilisation de nombreux acteurs internationaux de l’innovation (grandes universités, laboratoires de recherche, accélérateurs, incubateurs, etc.). Les villes qui comptent le plus de candidatures sont Berlin, Boston, Lausanne, Londres, Munich, Paris, San-Francisco, Singapore, Toronto et Zurich.

 

Pour Arnaud de la Tour, président de Hello Tomorrow : “On constate que ces villes sont issues des puissances économiques les plus innovantes[2] mais de nouveaux pays, moins connus pour leur rôle dans la R&D de pointe, comme la Russie ou la Thaïlande entrent aussi dans la course technologique mondiale. Comme en témoigne la qualité croissante des startups deep tech qui en sont issues, ils font des efforts massifs pour développer leur propre recherche scientifique et mettent en place des mécanismes de financement et d’accompagnement calqués sur ceux des États-Unis ou de l’Europe en les adaptant à leurs propres écosystèmes.”.

 

La deep tech française prend une place grandissante sur la scène internationale

 

Cette année, le nombre total de candidatures françaises au Hello Tomorrow Global Challenge a bondi de + 40% par rapport à l’édition précédente, faisant de la France le pays le plus représenté après les États-Unis. Parmi les startups encore en lice pour la finale, 11 entrepreneurs français ont été retenu dans plusieurs domaines :

 

  • En santé, Iktos développe un algorithme qui permettra la conception de nouveaux médicaments et Osivax un nouveau vaccin contre la grippe pour une protection universelle contre toutes les formes du virus.
  • Dans le domaine de la cybersécurité, CryptoNext, une startup issue de l’Inria[3] et de l’Université Paris-Sorbonne, protège les données contre les attaques d’ordinateurs quantiques. Greenerwave quant à elle conçoit une surface intelligente à bas coût pour améliorer l’utilisation des ondes wifi, satellites, radars, RFID ou encore 5G.
  • L’intelligence artificielle est comme souvent très prometteuse. Les startups Pasqal et C12 développent des processeurs quantiques avec une capacité de calcul remarquable. UPMEM associe mémoire et processeur au sein d‘une puce unique pour des calculs plus rapides et moins énergivores.
  • Dans l’aéronautique, Hologarde développe une solution unique de détection et de gestion de drones à longue distance.
  • Le secteur de la mobilité n’est pas en reste avec la startup EIFHYTEC qui a créé un compresseur d’hydrogène plus sûr et plus fiable pour stocker l’énergie dans les stations de charge des véhicules électriques.
  • Dans l’industrie 4.0 : la start-up Teratonics issue du Laboratoire de Chimie Physique (LCP), unité mixte de recherche de l’Université Paris-Sud et du CNRS, développe une solution de test non-destructif des matériaux basés sur des ondes térahertz. Elwave développe des systèmes de détection de proximité pour robots basés sur la technologie bio-inspirée du « sens électrique ».

 

La finale du Hello Tomorrow Global Challenge, point d’orgue de la première Deep Tech Week.

 

Lors de la grande finale du Challenge les startups lauréates remporteront chacune un prix de 10 000€ remis par les partenaires de Hello Tomorrow : Safran pour la catégorie Aéronautique, DSM pour la catégorie Biotechnologie, ArianeGroup et Airbus Ventures pour la catégorie New Space, Leonard (Groupe VINCI) pour la catégorie Villes intelligentes et IFP Energies nouvelles pour la catégorie Environnement. Le grand prix de 100 000 € sera remis par BNP Paribas.

 

Cette finale aura lieu sur le Hello Tomorrow Global Summit, l’événement incontournable de l’écosystème deep tech mondial, qui se déroulera cette année les 12 et 13 mars 2020 au Centquatre-Paris, un lieu à la croisée des champs de l’innovation et de l’art. Un rendez-vous qui clôturera la première Deep Tech Week. Organisée sous le haut patronage du Président de la République, cette semaine abritera plusieurs événements pour initier un dialogue autour des deep tech, valoriser et accélérer un maximum d’innovation et promouvoir le rôle moteur de la France sur ces problématiques. La première édition de la Deep Tech Week se tiendra à Paris du 9 au 13 mars 2020 (programme détaillé).

 

 

Pour en savoir plus

>> La revue complète des 80 finalistes du Hello Tomorrow Challenge est disponible ici : https://hello-tomorrow.org/startups#tracks

[1] Les startups deep tech sont basées sur des innovations de rupture et des avancées technologiques et scientifiques majeures. Elles s’appuient sur des technologies complexes qui nécessitent un temps de R&D particulièrement long.

[2]  Selon le classement du Forum Économique Mondial : https://www.weforum.org/agenda/2019/07/chart-of-the-day-these-are-the-world-s-most-innovative-economies/

 

[3] L’institut national de recherche en sciences et technologies du numérique

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