Et si… la route hackait les voitures autonomes ?

La performance de l'artiste James Bridle nous invite à repenser les rapports entre l'IA et son environnement.

Si la raison d’être de la voiture autonome est de lire la route, que se passe-t-il lorsque le langage de la route est altéré ? C’est sous la forme d’une performance vidéo que James Bridle propose sa réponse. Deux cercles composés de gros sel piègent en leur centre une voiture autonome. Selon l’artiste, qui imagine comment des chauffeurs de taxi privés de travail par la smart car pourraient modifier le langage de la route, il faut réfléchir aux limites de la technologie autant qu’aux possibilités qu’elle offre, sous peine de se voir, nous aussi, piégés.

 

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