Ces derniers jours,
c’est Kitty Hawk qui dévoilait son dernier né, le « Flyer ». « Lorsque tout le monde aura accès au vol personnel, un monde nouveau et sans limites s’ouvrira », explique la startup. Mais à y regarder de plus près, on s’aperçoit qu’il reste pas mal de chemin à parcourir.
Des attentes proches de la science-fiction
Une étude conduite par l’université du Michigan, et relayée
par CityLab, montre combien le public rêve (littéralement) des voitures volantes. Exemple : 60% des personnes interrogées plébiscitent un engin électrique, sans se soucier des capacités des batteries, et 40% évaluent à 650 km l’autonomie minimale que devraient avoir les véhicules (quand une voiture électrique sur route atteint au maximum
550 km). Au rayon coûts, les attentes sont, là aussi, déconnectées : 31,5% des personnes interrogées se disent prêtes à payer le double de leur prime d’assurance actuelle pour pouvoir conduire un engin volant. En réalité, ce poste de dépense pourrait avoisiner
les 60 000 dollars annuels !